La brûlure du religieux, de cendres et d’amour…
Par Claude Horviller
Français
Le feu est associé au divin. Par sa nature il confère aux divinités puissance et bras destructeurs, mais cette représentation ne cesse d’évoluer et c’est désormais la parole qui prime lorsqu’il est question de la présence de Dieu. Les autodafés, et les bûchers évoquent toujours des survivances de religions païennes. Et, dans le Cantique des Cantiques, comme une promesse, l’amour est comparé à la flamme de Dieu.
Mots-clés
- Brûlure
- Divin
- Feu
- Monothéisme
- Paganisme
- Parole
- Passage à l’acte
- Protestantisme